cela signifie qu’il y a une faible circulation des pathogènes respiratoires, et que le système de santé maîtrise bien la situation. Il s’agit de la situation de référence en l’absence d’épidémie.
Désinfecter les mains avec de l’alcool surtout dans un contexte de soins de santé et se laver régulièrement les mains avec de l’eau et du savon.
Ventiler les espaces intérieurs de manière optimale et régulière. Un détecteur de CO2 permet de mesurer indirectement la qualité de l’air. Des niveaux élevés de CO2 peuvent indiquer une ventilation insuffisante.
Les soignants portent un masque lors de contacts avec des personnes vulnérables
En cas d’éternuement ou de toux, utiliser un mouchoir à usage unique ou éternuer dans le coude et se laver les mains
Rester chez soi si l’on est malade, jusqu’à ce que les symptômes aigus aient disparu, et éviter les contacts avec des personnes vulnérables et les visites à l’hôpital ou en collectivité. Porter le masque systématiquement durant la présence de symptômes et en présence d’autres personnes.
Les personnes vulnérables portent un masque FFP2 en présence de personnes malades
Lorsque l’on n’est plus malade de manière aiguë et que les symptômes s’atténuent : porter un masque pendant encore quelques jours (au moins 5 jours, idéalement plus) après l’apparition des symptômes lors des contacts avec d’autres personnes et maintenir une distance, en particulier lors des contacts avec des personnes vulnérables et des patients.
Se faire vacciner contre les pathogènes respiratoires, tels que le coronavirus, la grippe, les pneumocoques et le VRS, si l’on présente un risque élevé d’infection grave, si l’on vit en collectivité ou avec une personne vulnérable, si l’on travaille dans le secteur de la santé, si l’on est enceinte ou désireuse de l’être dans un futur proche. La vaccination constitue l’intervention la plus efficace pour se protéger des décès et des formes graves. Suivre les recommandations de son employeur et du médecin du travail